Canalisation d’Isis – message reçu en écriture automatique par Isabelle Muller, le 4 juillet 2014 (aucune modification du texte, seules les fautes d’orthographe sont corrigées et la ponctuation).
La chaussure. Mettez chaussure à vos pieds. Mettez les chaussures à vos pieds, qui vous vont, qui vous vont bien. Rien ne sert de se forcer à entrer dans une chaussure qui fait mal. C’est cela qu’il vous faut comprendre aujourd’hui.
Suivez la lumière et non la mode des dictats d’une société en peur. Ne faites plus les pingouins d’une société en pleurs ! Ne faites plus les pingouins d’une société en mal d’amour et de lumière ! Choisissez le beau et le vrai, le digne et l’authentique.
Rien ne sert de porter blasons et chaussures de couleurs, si vos cœurs sont en pleurs.
Rien ne sert de porter chemises à fleurs, si vos âmes sont en peine d’amour.
Rien ne sert de courir, si vous êtes en fatigue.
Rien ne sert d’avancer, si vous courrez vers le vide du néant du gouffre de peurs et d’angoisses.
Sachez vous arrêter. Sachez regarder. Sachez choisir la bonne chaussure. Celle qui vous sied à merveille. Celle qui vous guide et vous transporte par monts et merveilles. Celle qui vous guide à la lumière de l’éternelle sagesse.
Sachez, sachez le faire ! Sachez, sachez le voir. Car c’est cela qui est bon et beau pour vous, sur la Terre. C’est cela que votre cœur demande. La vie en fleurs, la vie en couleurs. La vie en rires et couleurs de l’amour du divin.
Ne regardez plus vos pieds. Ne cherchez plus de souliers qui vous font mal et peur au cœur. Ne vous fâchez plus avec vos cœurs non plus. Cela n’est pas la vie sur la Terre non plus. Cela n’est pas ce qui vous est demandé par vos cœurs célestes et divins.
Ne pleurez plus, ne vivez plus le drame de l’enfer des peurs. Car c’est cela que vous vivez. C’est cela que vous vivez, souvent, beaucoup trop souvent.
Ne cherchez plus ce qui est là. Ne cherchez pas ce qui est déjà. Regardez, regardez seulement ! Regardez, regardez seulement ! Et vous verrez, vous verrez vos pieds. Vous verrez vos pieds autrement, sans chaussure, sans couleur, tels qu’ils sont. Tels qu’ils sont, en beauté, en beauté divine.
Car la beauté est divine, tout simplement divine. C’est cela la vie. C’est cela la joie de la vie sur la Terre. Voir, voir la beauté de chaque cœur. Voir, voir la beauté de chaque cœur.
Je vous aime et vous le dis. Je vous aime et vous le dis, encore et encore. N’achetez plus de souliers qui ne sauront vous aller. N’achetez plus de soulier qui ne sauront vous guider. Cela n’est pas le juste. Cela n’est que chimères sur Terre. N’achetez plus de souliers qui ne sauront vous guider. Regardez, regardez vos pieds nus. Et vous verrez, vous verrez la beauté de la vie sur la Terre ainsi, aussi. Vous verrez la beauté de la vie sur la Terre ainsi, aussi.
Sachez courir, jouer et vivre nus. Vivre nus de tout artifice de peurs et de craintes. Car la beauté est belle et divine. La beauté est juste, belle et divine, sans crainte et sans peur. Sans crainte et sans peur.
Sentez la joie et la liberté de vos pieds nus. Sentez la joie et la beauté de vos pieds nus, sans artifice de crainte et de peur, sans artifice de crainte et de peur.
Sentez-le et dansez ! Dansez au rythme des tambours. Dansez au rythme des tambours du monde divin et heureux.
Dansez !
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